Pour élever Narcisse, sa mère s'est adonnée aux plus lourdes besognes, trempant ses mains de femme, autrefois baisées, dans le lavoir glacé, rinçant le linge des bourgeoises, celles-là même que leurs maris cocufiaient sans vergogne pour livrer ensuite le fruit de leur pulsion passagère à la misère. p.237