Bénédicte Poussin-Julien dessine et peint depuis l'enfance, aux Beaux-Arts puis dans différents ateliers normands. Après une formation d'enseignante et le Conservatoire d'Art dramatique, elle écrit, met en scène et joue un one woman show en France et au Québec.
Depuis 1995, elle se consacre à la peinture, sa première passion, en s'inspirant de ses nombreux voyages.
Elle est atteinte de sclérose en plaques depuis l’âge de 16 ans. À 16 ans, lycéenne à Rouen, elle constate une baisse brutale de l’acuité visuelle d’un de ses yeux. Elle est hospitalisée. Le corps médical, qui ne connaît pas encore l’IRM, ne se prononce pas. Bénédicte reprend les cours et ses activités. Pendant huit ans, elle vit pleinement, passe par l’École normale, les Beaux-arts, pratique le théâtre et enseigne dans le primaire.
En 1990, sa santé se dégrade, elle a du mal à marcher. IRM à Paris : c’est, à ce jour, le moyen le plus fiable pour détecter les causes de la maladie. Le diagnostic tombe : sclérose en plaque.
En 2013, elle publie "J’aurais donné le reste de ma vie", un recueil de sept nouvelles
superbe roman qui nous fait rencontrer des personnages très différents: des grincheux, des gais...dans un style épatant !
à recommander sans modération.