Voilà, ils sont tous là, grouillants. La cour en est pleine. Ils sont le banc d'anchois et toi le grand requin blanc. Prédateur ultime. Machine implacable. Tu ouvres et fermes les poings. Tu sens tes muscles rouler sous ton sweat. C'est agréable, ce sentiment d'invincibilité. (p.6)