Vous oubliez, Monsieur, que la loi « Dénoncer et protéger » nous oblige à faire la preuve « par tous les moyens possibles » des dommages subis par la victime. Afin de lui apporter réparation.
-En somme, la supposée victime a toujours raison, même si elle n’existe pas !
-C’est un peu cela. …..Une accusation apparemment dépourvue de fondements constitue souvent la traduction inconsciente d’une autre souffrance, refoulée et néanmoins pernicieuse.
La loi ne permet pas d’évacuer aussi facilement une plainte aussi grave, sous prétexte que nous ne connaissons pas la plaignante, possiblement traumatisée par la perspective d’une nouvelle rencontre avec son agresseur.