Si un destin miséricordieux avait avancé sa mort de quatre ans, la vie rêvée de Louis Renault – tel est le titre d’une des nombreuses biographies qui lui ont été consacrées – aurait pu se lire comme une de ces success-stories dont les anglo-saxons sont si friands ; et qui auront, hélas, si sévèrement manqué à l’industrie française
La mystérieuse mort de Louis Renault