Ce qui manquait à Stella, c’était le bonheur d’élever un enfant, le labeur quotidien des rituels de l’amour - faire du baby-sitting, donner le bain, lire des histoires, tenir l’enfant dans ses bras, coller sa joue contre la sienne, la nature purement physique de la chose. Les premiers mots. Les premiers pas. Le besoin d’être impliquée et de se faire appeler grand-mère.