Son seppuku, acte longuement réfléchi, donnait, finalement, un sens précis à ce combat. Par cet acte radical, Mishima revendiquait, une ultime fois, le droit sacré, car signé par son sang, à la résistance à l'acculturation, à la révolte envers une clique politicienne corrompue et vendue, ayant renié l'héritage de ses pères, à la contestation du "tout économique" et à la protestation contre la perte de l'âme collective, destin des sociétés modernes.