A ce rejet et à ce dégout pour la société industrielle comme société de consommation répond le rejet des discours et des représentants politiques, qui n'ont cesser d’intégrer les faits en renonçant à l'exigence d'une différence entre faits et droits, en adaptant leurs actes et inactions aux contraintes du système, en luttant par exemple contre la hausse des prix par leur collusion avec le marketing de la grande distribution, et en sombrant ainsi dans le discrédit.