Les blagues, ce n’était vraiment pas son genre ; c’était bon pour les gens qui tenaient à la vie et préféraient oublier que la mort les attendait au coin de la rue. La mort ne rit pas des blagues ; elle rit de tout ce que les gens qui tiennent à la vie prennent au sérieux, d’un ricanement sauvage, sans pitié, qui finit toujours par les emporter tous.