Il continuait de s'étonner de la sérénité de cet homme, et de son incapacité à la conserver dès qu'il mettait les pieds dans un stade de rugby. Il lui sembla que c'était le secret le mieux gardé de son ami. Il ne voyait que deux explications possibles au fait qu'une telle droiture, une probité si profonde puissent être si vite balayées. Ou les forces du rugby étaient redoutablement puissantes. Ou l'humanité était bien mal conçue et il n'y avait alors plus grand-chose à faire pour elle.