L'acier, le chêne, le roc, la pierre... Nous avons cherché et trouvé les exemples de solidité auxquels nous aspirons dans le monde des minéraux, des végétaux, dans les formes de la nature qui ont résisté et persisté et dans la nature mise en forme par l'homme. En ce que l'homme a trouvé et a pu faire dans le monde. Mais l'homme lui-même a toujours paru à nos yeux comme une créature faible, sans force, chétive. S'il n'en était pas ainsi, pourquoi dirions-nous qu'il faut qu'il soit solide, résistant, dur comme ceci, ou comme cela ; pourquoi le croirions-nous, le ferions-nous croire ? L'homme a dû se fier plus qu'à lui-même à ce qu'il a fait, à ce qu'il a crée avec l'aide de ce qu'il a trouvé prêt.