- Tu vas m’obliger à me laver, tellement, que je vais complètement fondre.
Après tu n’auras plus personne. A qui tu raconteras des histoires et à qui tu achèteras des sucettes, alors ?
L’idée qu’il pourrait complètement fondre lui arrache presque des larmes. Grand-mère l’attire sur son tablier à pois bleus :
- Oh ! ma petite tête dorée ! Alors tu as peur que je sois triste sans toi ! Mon petit poussin !
Grand-mère est douce, chaude, et elle sent la vanille.