De manière générale, j'ai l'impression que les "transports de volupté" dont parlent les auteurs russes dans un flou éloquent, et les plaisirs de la chair décrits par la littérature française contemporaine avec un bien plus grand luxe de détail, ne sont encore qu'une invention de l'humanité pour donner un peu de romantisme au pesant devoir de perpétuer l'espèce.