Telle est cette ville ... Moscou. Au lieu de vous captiver d'emblée, dès la première rencontre, comme Venise ou Paris, elle vous pénètre lentement le coeur. Elle est comme un gigantesque oignon : cent robes, que ne retient aucune agrafe; on les ôte une après l'autre, on les ôte et on fond en larmes. On pleure de comprendre que jamais on ne parviendra à la dévêtir entièrement.