Citation de jamiK
Et il poussa le cri de l’araignée-crabe, en s’élançant vers la prairie voisine où des cyber-bergers témoignaient de la présence voisine d’un troupeau.
Kostilin tenta de le retenir, mais déjà il avait heurté un veau à deux têtes qui fit un bond de côté, puis le regarda tristement de ses quatre yeux éplorés.
C’est alors que, d’un massif voisin sortit la plus blonde de toutes les jolies filles capables de faire des soupirants et des jalouses en deçà et au-delà des deux tropiques.
Paul, fut arrêté dans son élan, et un vers de Pouchkine lui vint aux lèvres :
"Bergère légère qui va au marché…"
mais la jeune fille, si belle qu’elle pouvait se passer d’esprit, dit :
« Quoi ? »
Et Paul connut à l’instant qu’il l’aimait. Il souhaita aussitôt d’être beau et grand, avec de larges épaules et un sourire captivant. « Soyons spirituel », pensa-t-il. Il prit un air à la fois malicieux et suave, et dit :
« Je m’appelle Paul.
— Moi, Irène ! Vous désirez, sans doute, me dire autre chose de plus urgent ! »
Kostilin tenta de le retenir, mais déjà il avait heurté un veau à deux têtes qui fit un bond de côté, puis le regarda tristement de ses quatre yeux éplorés.
C’est alors que, d’un massif voisin sortit la plus blonde de toutes les jolies filles capables de faire des soupirants et des jalouses en deçà et au-delà des deux tropiques.
Paul, fut arrêté dans son élan, et un vers de Pouchkine lui vint aux lèvres :
"Bergère légère qui va au marché…"
mais la jeune fille, si belle qu’elle pouvait se passer d’esprit, dit :
« Quoi ? »
Et Paul connut à l’instant qu’il l’aimait. Il souhaita aussitôt d’être beau et grand, avec de larges épaules et un sourire captivant. « Soyons spirituel », pensa-t-il. Il prit un air à la fois malicieux et suave, et dit :
« Je m’appelle Paul.
— Moi, Irène ! Vous désirez, sans doute, me dire autre chose de plus urgent ! »
