Dix-sept ans à peine le gamin. Des petits tatouages de taulard sur les mains, les avant-bras, les trucs qu’on se fait en maison de redressement, quand on s’emmerde.
Ce n’est pas dans la rue ou dans son centre de remise dans le droit chemin qu’on vit des trucs pareils. De toute façon, il n’aime pas l’école, le gosse, alors on l’a fait sortir. Il préfère apprendre à survivre avec nous. C’est pour cela que je lui ai proposé une petite formation maison.