En définitive, le secteur nous appartenait pas du tout. Des panneaux "A vendre" ont fleuri sur les pelouses des maisons de ma rue, dans Loveta Terrace, comme des pierres tombales, emportant l'un après l'autre ami ou ennemi, voisins en tout cas qui vendaient les biens appartenant à leurs familles depuis des dizaines d'années pour des centaines de millions de dollars.