Je le fais parce que c’est bon, Emma.
Mon prénom, au bout de cette phrase, résonne comme une bombe de crème chantilly posée sur une ogive nucléaire. La prononciation suave pourrait même revêtir un côté sexy s’il ne s’agissait pas là d’un plaisir qui consiste à tuer des gens sans remords et sans raison. Cet homme est fou, et on ne discute pas avec un fou.