« … et je parlerai du matin d’automne où Livia et Vigdis se sont rencontrées par l’intermédiaire d’une machine, de ces femmes qui ont changé de vie, échangé leurs vies, de ces hommes qui les ont aimées, perdues ou trouvées, de l’incroyable accumulation de mots, minuscules faits, infimes mensonges, vérités imperceptibles qui nous ont construits, détruits, reconstruits. »