Quand je serai grande, j’aurai des belles jupes noires qui tournent, et des jeans super-sexy, des sacs en plumes et en serpent, des pulls en cuir bien serrés, noirs bien sûr, des chaussures énormes et montantes, noires comme de bien entendu. J’aurai un grand copain, noir aussi, très beau et fin comme Obama qui me parlera de Dieu, de l’Unique je veux dire, qui fera un peu mon ménage mais sans rien déranger dans mes gros ballots d’habits ; il sera un peu magicien et il me transformera en rousse bouclée avec même le parfum qui va avec.