Je pense que nous sommes moins fragiles que nous voulons l’admettre. Tel le roseau qui plie sans rompre. Nos faiblesses viennent de nous-mêmes. Tant pour les femmes que pour les hommes. À cette différence que les femmes ont bien plus de mal à se solidariser. D’où notre difficulté à devenir une femme. Si l’on remonte aux temps anciens, la femme a toujours été l’« avenir » de l’homme. Elle est également son passé.