Le savoir, de toute façon, n’était que le pichet grâce auquel l’homme se désaltère. On pouvait en remplir un avec l’arithmétique, un autre avec des mots, et un homme était libre de les échanger et d’étancher sa soif grâce au premier ou au second tout en ne comprenant rien, car chez la plupart des hommes l’esprit est une passoire et non un récipient.