Jeune marié, Bruno Gaumétou apprend, à vingt-trois ans, qu'il a deux cancers.
Durant dix ans, la mort, la souffrance voudront être ses seules compagnes, mais c'est compter sans son étonnante pulsion de vie: soixante jours après une transplantation du foie, il court son premier marathon.
Puisque tout allait au plus mal, rien ne pouvait être pire, par conséquent la situation allait stagner ou plutôt s'améliorer. Il n'est pas d'état permanent dans l'univers. Tout est en constante évolution et ce qui a un début a nécessairement une fin.