J’ai toujours eu peur de ça, de l’arrivée du malheur et de la souffrance sans que rien ne m’y prépare. Vous discutez avec le chauffeur et quand il regarde à nouveau la route, la voiture s’encastre dans un mur et votre tête s’enfonce dans la boîte à gants. Que se passe-t-il entre le moment où vous comprenez que c’est inéluctable et le choc qui met fin à cette idée, comme aux autres d’ailleurs ?