Quand personne ne nous regarde, que nous sommes seuls face à nous-mêmes, nous courons toujours aussi rapides et peureux que naguère, pour fuir les ténèbres que nous savons cachons derrière la porte de tant de foyers apparemment sans histoire, pour fuir les hantises greffées dans la cervelle des enfants par ceux-là même que la nature leur dit de croire et d'aimer.