A l'époque, en effet, non seulement hydrate de chloral mais aussi morphine, opium, cannabis indica et autres substances similaires étaient en vente libre dans toutes les pharmacies.
C'est ainsi que des milliers de personnes avaient détruit leur vie en se fiant au chloral pour, comme l'affirmait un fabricant, "effacer les soucis et apporter un sommeil réparateur".
Les morts par surdose étaient monnaie courante...