Philippe d'Orléans ne laissa rien paraître de son soulagement car, en réalité, il craignait bien davantage la fronde du Parlement que les mouvements de deux malheureux princes, marionnettes de deux femmes ivres de pouvoir, la vieille guenipe de Saint-Cyr qui les avait toujours couvés de ses jupes de fausse prude et la folle naine de Sceaux, prête à mettre le feu aux quatre coins du royaume pour effacer la tache originelle d'un mauvais mariage.