Personne n’est obligé de parler pendant ces réunions. Parfois, ça aide d’écouter les histoires des autres et de se rendre compte que notre traumatisme lié au crime n’est pas une expérience unique, et le retour à une certaine paix intérieure non plus. Parfois, nous commençons les réunions avec des « victoires de la semaine » ou des lectures. Mais c’est une structure assez fluide.