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Critiques de Carino Bucciarelli (9)
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Le symbole de l'Infini

Voici mon avis d'un jet de mine de crayon, jeté sur le papier sans réfléchir juste

mon ressenti en tournant la dernière page de "Le Symbole de l'Infini".



Je suis restée de longues minutes éberluée, décontenancée,

moi qui souhaite toujours comprendre le pourquoi des choses.



Je me suis laissée porter par l'infinie imagination de l'Auteur.



Complètement subjuguée par la non compréhension de cet Infini qui m'a happée et m'a redéposée.



J'ai fais un tour dans un autre Espace Temps où m'a conduit les pas de L..., le long des couloirs sans fin qui menaient à une bibliothèque qui n'a jamais existée !



Et puis, après tout, pourquoi ne pas prendre cette histoire en une infinie pensée apaisante et redescendre lentement, après avoir sillonné à l'infini un monde parallèle.



Etrange ! Troublant !

Infiniment vers L Infini !



L'Univers est infini ,

L'imagination l'est aussi .



Tel l'Ouroboros qui se mord la queue, une boucle où vivre deux éternités.



Un labyrinthe fait de chemins indéfinis et de miroirs réfléchissants.



A quoi bon réfléchir ?

Juste se laisser porter !



Fascinant, improbable, inexplicable, renversant, sidérant !



Cette lecture m'a laissée pensive de longues minutes et m'a fait

m'évader bien loin du quotidien.





Merci à Laura du Service Presse des Editions M.E.O.

qui m'a permis de voyager dans cette trouée

de l'Univers de l'Infini de Carino Bucciarelli





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Nous et les oiseaux

ETRANGE ! FASCINANT !



Delatour "un patronyme bien banal ... simple coïncidence ne devrait te troubler en rien ... "



Raven, une Corneille qui a toute sa place tout au long de cette intrigue.



Tout s'embrouille ... tout s'embrouille, le mystère s'épaissit au fil des pages.



Imaginez !

Mélangez de l'eau et du savon.

Faites des bulles multicolores qui s'échappent une à une.

Chaque bulle de couleur relate une histoire à chaque fois différente, à chaque fois similaire.

Le point commun des bulles reste le "savon" et ici dans cette fantastique et étrange histoire le point commun est le patronyme "Delatour".



Des bulles qui partent dans toutes les directions pour finalement se rejoindre et finir par éclater.



Reste, un point d'interrogation ?



¤ Ai reçu ce livre des Editions M.E.O. de Bruxelles, suite à la sélection masse critique qui a eu la gentillesse de me retenir, et les en remercie.



Je viens de refermer ce livre et il continue à m'intriguer !!!



" Huit pattes sans araignée tissent une toile invisible".



(Alejandro Jodorowsky)
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Nous et les oiseaux

Un grand merci a Babelio et aux éditionsMEO pour l'envoi de ce livre.



Tout était réuni pour me charmer dans ce court roman , la couverture avec une corneille et l'histoire cet homme qui laisse dans la voiture sa femme et ses deux enfants sur le bord de la route et qui ne les retrouveras plus...

Sauf que, l'histoire se mélange et divers personnages vont se substituer les uns aux autres par leurs noms, leurs vies et par cette corneille qui les suivras tout du long.

Cet homme suite a un léger accident , essayera de trouver une borne pour appeler les secours et a son retour: disparition.

Les gendarmes lui apprendront qu'il n'a jamais eu de famille et encore moins des enfants.

Puis tout se brouille car l'inspecteur porte le mème nom, puis une autre femme porteras le nom de la sienne etc etc...

Tout ceci a gâché ma lecture, je n'y comprenait plus rien et j'ai eu un sentiment d'essai de roman pour ado non inachevé et totalement brouillon.

Bref l'auteur a essayé mais ça ne l'as pas fait avec moi et c'est dommage car le pitch d'entrée était attrayant.
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Petites fables destinées au néant

Merci à babelio et aux éditions Traverse, qui m'ont sélectionnée et envoyé ce recueil de fable lors de la Masse critique de Janvier.

J'avais cru que ce serait facile à lire.

Mais pas du tout, ce sont des textes très courts - 1 page - mais très dense, aussi bien dans leur mise en page que dans ce qu'ils racontent.

Il m'est arrivé très souvent de relire pour essayé de comprendre, capter au mieux ce qui était raconté.

Chaque texte a été un plaisir à lire.

Par contre, il m'était impossible de lire beaucoup à la fois. 3 à 4 maximum.

Et si je prenais plaisir au moment de la lecture, malheureusement, j'ai oublié beaucoup de ce que j'ai lu et je trouve cela bien dommage. Ce sera une bonne excuse pour reprendre le livre de temps en temps pour quelques pages
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Nous et les oiseaux

Les histoires se croisent, des éléments se télescopent et les informations se contredisent. En tant que lecteur, on tente de faire des liens, de comprendre ce qui unit ces multiples personnages mais l’auteur entretient tellement bien la confusion que tout est resté très opaque pour moi.



De ce fait, j’attendais le dénouement avec beaucoup d’intérêt, espérant l’explication géniale qui allait éclairer toutes ces zones d’ombres. Mais, à la fin de ma lecture, je constate que beaucoup de questions restent sans réponse, notamment sur le rôle joué par les volatiles, et que je suis totalement passée à côté de ce roman.
Lien : https://carnetdelecture1.wor..
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Nous et les oiseaux

Sincèrement je ne m'attendais pas à grand chose en ouvrant Nous et les oiseaux. A priori un polar d'après la quatrième de couverture. Et quand j'ai refermé le bouquin, ma première réaction a été : mais quelle prise de tête, mes amis, mais quelle prise de tête ! Mais le pire dans cette histoire est que j'en redemande et que je recommande ! Parce qu'être bluffée à ce niveau-là, tout déconstruire, tout rassembler pour tout reconstruire ... il faut un sacré talent littéraire pour amener le lecteur à une telle expérience intellectuelle. Et visiblement, Carino Bucciarelli en a à revendre !



C'est l'histoire d'un homme, Stéphane Delatour, qui embarque sa petite famille (Olga sa femme et ses deux enfants Irina et Gabriel) sous une route enneigée. Et pas de bol : la voiture dévisse. Résultat : Stéphane Delatour va chercher des secours et là sur le chemin, où il n'y a pas âme qui vive, il croise un anorak rouge et se dépêche de s'en éloigner pour contacter au plus vite une dépanneuse qui arrive, le récupère... Sauf que la voiture avec femme et enfants à bord entre temps a disparu.



Et là on embarque dans un univers complètement barré de chez barré. Comme je l'ai déjà dit, résumer Nous et les oiseaux n'est pas simple. Pourtant je vous conseille cette lecture étonnante, qui sort des sentiers battus, précieuse dont la forme de narration qui se veut linéaire mais ne l'est pas complètement, est suffisamment rare pour être découverte.



Dans Nous et les oiseaux, j'ai trouvé d'énormes similitudes avec l'univers de David Lynch : le même côté barré, les mêmes éléments qui reviennent (l'anorak rouge, les mésanges, le côté obscur et sombre, le nom de famille qui se duplique à l'envi, l'espace-temps qui se construit en parallèle et se déconstruit, les silences et les personnages étranges souvent seuls : une commissaire suspicieuse, un dépanneur qui dépanne pas uniquement les voitures, un inspecteur qui veut comprendre, une sœur spéciale et très complice).



Comme un scénario réussi lynchien, Nous et les oiseaux pose autant voire plus de questions après visionnage/lecture qu'avant : c'est ce qui fait la richesse et la prouesse de la création, sa longévité aussi.



En tout cas, chapeau bas à l'auteur Carino Bucciarelli qui a su m'embarquer complètement : Nous et les hommes était un pari littéraire très risqué qui a été relevé avec maestria ! J'espère qu'il y trouvera son public parce qu'il le mérite vraiment.
Lien : https://jemelivre.blogspot.c..
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Nous et les oiseaux

Nous et les oiseaux me laisse ce petit goût d'inachevé. Sur le papier il y avait tout ce qu'il fallait: un homme laisse sa femme et ses enfants dans leur voiture au bord de l'autoroute le temps d'aller à la borne d'appel pour appeler les secours. Quand il revient, la voiture et sa famille ont disparu.



Pire que tout, les flics lui disent qu'il n'a jamais eu de famille.



J'ai eu un sentiment brouillon tout le long de ma lecture. Il y a de l'idée dans ce qu'a tenté l'auteur, mais le fait qu'il ait laissé certains points de l'histoire sans réponse m'a donné l'impression d'un récit inachevé. Ce n'est pas parce que c'est du fantastique que le lecteur doit être dans le flou.

Le livre faisant autour de 150 pages, il y avait la place de compléter un peu.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Petites fables destinées au néant

Je tiens avant tout à remercier masse critique Babelio et les éditions Traverse pour la confiance qu’ils m’ont accordée en me choisissant pour ce partenariat.



Ma chronique va être difficile à rédiger en raison du format de cet ouvrage. Je ne pourrais pas faire de résumé, parce qu’il n’y a pas vraiment de fil rouge, en tout cas, je suis bien incapable de l’expliquer, donc autant utiliser les mots de l’auteur : la thématique des fables tournent



“autour du regard sur notre éventuelle présence ou non-présence dans un monde hypothétique.”



C’est un beau programme qui est traité avec une grande variété : le message peut passer à travers les mots, la création, la non existence, l’ennui, etc.



Je pensais que cet ouvrage se composerait de quelques fables genre une dizaine, mais pas autant : il y en a plus d’une centaine ; une majorité tient en une page et quelques rares autres en deux pages. Souvent, elles sont toutes construites à partir d’une histoire puis développent une idée. C’est réussi : le récit est fluide, ça se lisait tout seul, ce qui ne devait pas être évident à écrire.

Les thèmes sont variés et chacun y trouvera une ou plusieurs fables qui lui parlent.



Celles que j’ai préférées sont celles qui, en une phrase révélaient des évidences et me permettaient de développer ma pensée autour du thème abordé. Ça a été le cas avec l’une sur l’ennui, mais je n’ai pas le titre et je n’ai pas réussi à la retrouver ; également Mon drame avec la citation suivante :



“J’aurais pu laisser libre cours à mon penchant naturel et mentir comme beaucoup d’autres pour ainsi m’inventer une triple appartenance, mais l’honnêteté – ou la honte – me freine. Oui, la honte, car une triste éducation m’a été inculquée. Tu seras toi-même ! m’a-t-on imposé dès l’enfance, comme si on pressentait en moi un naturel de qualité. Mais n’est-ce pas la pire formule que de ne pouvoir échapper à sa personne ?”



C’était pour ne citer que ces deux-là. Il y en a bien d’autres qui m’ont plu, surtout celles dont le récit se suivait et s’étalait sur plusieurs fables : Sous la lucarne est plusieurs discussions entre deux prisonniers et se poursuit sur neufs fables.



Les textes sont rythmés, et c’était agréable à lire à haute voix. En tout cas, j’ai pris plaisir à le faire.

J’ai bien aimé ce recueil de fables, ça me changeait de mes lectures habituelles.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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Dispersion

Ce recueil de nouvelles, il a agi sur moi comme une véritable drogue. Impossible de le lâcher, et pourtant, parfois, il le faut.



Dès que j’arrivais à la fin d’une des nouvelles, je voulais découvrir la suivante. Chacune a son propre univers, l’auteur nous fait passer de l’un à l’autre avec beaucoup de talent et de fluidité.



C’est le genre de livre que je suis certaine de relire sans me lasser.



Dans le résumé, il est dit que l’on va avoir la conviction de nous-même faire partie du livre, je peux vous le confirmer, j’avais l’impression d’être dans chacune des histoires, et non de les lire. C’était franchement un vrai régal, bien que parfois un peu effrayant malgré tout selon celle où je me trouvais.



C’est avec ce recueil que je découvre l’auteur, qui n’en est pourtant pas à sa première parution, mais également un éditeur. Je vous certifie que je ne vais pas en rester là, je veux absolument approfondir cette découverte.
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