Gaston Miron : « Cet aventurier de la langue avait compris que la psychologie des Québécois était travaillée par deux impossibilités : le deuil de la langue française et la maîtrise politique de l’existence. Le sentiment de honte et d’impuissance, face à un génie français inégalable et à une réalité politique canadienne bloquée, est au fondement de ce qu’il faut bien appeler notre mythe national. »