Je n’ai pas appris d’emblée l’idiome mexicain. Mon avantage initial était de parler l’espagnol et le maya, acquis pendant mon long séjour parmi les Indiens du Yucatán.
Doña Marina – la Malinche – ne parlait que le maya et le mexicain quand elle fut livrée à Cortés.
De sorte que pendant un temps je fus le seul à pouvoir traduire la langue de Castille.