A quoi bon courir, en somme, si nous nous heurtons à la borne de notre propre personnalité ? Certains naissent pour vivre, d’autres pour peiner, d’autres pour regarder seulement. Moi je n’avais qu’un infini et vil rôle de spectatrice. Impossible d’en sortir. Impossible d’y échapper. L’angoisse, c’était pour moi la seule réalité de ces instants.