Personne ne pense à sa famille, personne ne se dit « le ou la pauvre », non tout le monde se bouscule, hurle, s'insulte pour pouvoir se faufiler dans les couloirs afin de trouver un autre moyen de parvenir sur son lieu de travail. Parfois, j'entends même des « putain fait chier, il pouvait pas attendre pour crever celui là ! ». Oh propre, joli, la classe dans toute sa splendeur.