À partir de 1876, Grigorescu découvre les côtes bretonnes et l’océan. Il avait peint jusqu’alors des lisières de forêt, des arbres fragiles ou monumentaux, des terres rocheuses ou des plaines. C’est la ville et la mer qu’il apprend à aimer en Bretagne. Il découvre des bourgades vieilles de plusieurs siècles, leurs habitants modestes et leur vie patriarcale.
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