La littérature à appris à mes anciens étudiants comme à tout le monde qu’il faut parler de la mort avec des métaphores. Lorsqu’on emploie pas de figures de style, ils peinent décontenancés. La mort… Ils en ont tellement peur qu’ils l’apprivoisent à l’avance pour ne pas y penser lorsqu’elle arrivera.
(Héliotrope, p. 71)