Aujourd’hui, lorsque je suis pressée par le temps, mon corps vibre d’une anxiété dont je ne peux me débarrasser qu’avec des médicaments, et j’ai l’impression d’être un rouage dans le mécanisme d’une horloge. Alors je fais en sorte, la plupart du temps, d’être en avance – et je me retrouve à piétiner, impatiente, en attendant des gens, comme on a souvent dû m’attendre autrefois.