Ce qui m’étonne, ce n’est point qu’un homme qui de son vivant vendait ses grands tableaux mille écus, et ses petits tableaux, cinq cents francs –quand il les vendait-, une fois mort, ait vu la foule se ruant à la vente de ses croquis, de ses dessins, de ses esquisses, se disputer ses coups de crayon, ses éclaboussures de plume, et payer ses essuyages de pinceau plus cher que l’on ne payait ses chefs-d’œuvre….