"C'est pas uniquement un problème d'abondance, réfléchit Michèle. La faute à la solitude. Avant on pouvait parler. On exprimait son mal-être. Maintenant, on n'a plus d'oreille compatissante à qui raconter son malheur. Alors, au lieu de le faire sortir de soi, on l'étouffe avec de la bouffe."