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Citations de Catherine Moret-Courtel (29)


Quand on pense souvent aux morts, ce ne sont plus des disparus. seulement des absents.
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Grognement fatigué.
Même en musique, se lever à cette heure-là, c'est pas une vie.
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Finalement, le propre des êtres vivants, c'est d'avoir des tas de choses en commun.
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Chez les riches, on trouve des solutions à tous les problèmes, rien ne leur
résiste !
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Le samedi, se rendre à l'hyper est une activité incontournable. Un peu comme se rendre à la messe le dimanche au siècle dernier...
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Il faut que tu comprennes qu’il existe un temps et un espace qui nous sont étrangers à nous, humains, qui ne vivons que la durée d’un éclair. Il faut que tu relativises. Il faut que tu m’écoutes. Je suis un chasseur du ciel, je ne peux me laisser détruire par la malédiction humaine
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On ne crée plus de la richesse pour transmettre. On s’enrichit pour en profiter.
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Quand une femme est amoureuse, inutile de lui faire entendre raison.
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Elle qui aime toujours son mari, peut-être de façon moins passionnée que les premières années, mais avec toujours la même tension, la même âpreté, elle qui est jalouse, possessive et qui supporterait mal d’être éloignée de lui plus d’une semaine, sait bien que l’amour vous enferme, vous fait prisonnier de vous-même.
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Pour être en paix avec nous-mêmes, il nous faudrait devenir un fleuve qui va se perdre dans l’océan…
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Comme l’eau, le destin va toujours de l’avant. Et comme les flots, les souvenirs devraient s’égarer et sombrer dans le cours de nos pensées.
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Les chiffres, peu ou prou, elle les connaissait.
Les chiffres, les statistiques, c’est presque propre, cela devient vite une abstraction. Les chiffres ne craignent pas la surenchère.
Même pour les guerres civiles.
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La faute à notre œil qui ne voit guère les couleurs en vision nocturne. Les cellules photosensibles de la rétine sont les cônes et les bâtonnets, et ces derniers permettent la vision avec une faible luminosité, mais en noir et blanc, pas en couleurs. Il suffit d’enregistrer, d’une façon ou d’une autre…
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Le désert, c’est mon refuge. Je te le ferai découvrir, tu l’aimeras, loin de la violence et des passions humaines.
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Peut-être même sait-on mieux vivre quand on se sait exposé aux déchaînements telluriques. Comme une prémonition qui vous pousserait vers la vie, sans spéculation, dans une jouissance immédiate.
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La vigne vous raccroche à des valeurs sûres. Le vin, la fête, la vie. On oublie les séismes. On pense robe, nez et bouche. Les failles s’effacent devant l’or et le rubis du précieux nectar, le vertige léger d’une dégustation entre amis… Le fameux vin chilien dont leur parlaient tant les parents de Rolando !
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Préférer l’expression « régime militaire » au mot dictature qui cingle comme une cravache.
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Jusque là, Michèle fantasmait. Imaginait un Valparaiso mythique, paradisiaque, but ultime, comme dans la chanson, des errances de marins soulés d’embruns, rongés d’alcool, obsédés par les poupées vénales et flétries des bordels.
Elle y projetait un romantisme désespéré de bout du monde et découvrit un port qui lui parut immense et ordinaire, une ville moderne, écrasée de buildings où subsistaient les traces d’une splendeur passée dans une brume sale et une pollution puante. Elle observa, incrédule, l’entassement des bicoques peintes aux couleurs de rafiots décrépis, imbriquées, accrochées en équilibre précaire au flanc des collines qui ceinturent la ville basse, révélant un impitoyable dénuement, une folle et indigente improvisation.
"Qué loco, puerto loco..."
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"C'est pas uniquement un problème d'abondance, réfléchit Michèle. La faute à la solitude. Avant on pouvait parler. On exprimait son mal-être. Maintenant, on n'a plus d'oreille compatissante à qui raconter son malheur. Alors, au lieu de le faire sortir de soi, on l'étouffe avec de la bouffe."
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Ce qui lui fait un peu peur, ce qui lui fait craindre que tout cela ne soit qu'un rêve, un rêve de plus, c'est qu'en une seule journée les évènements se sont précipités, modifiant son existence comme elle ne pouvait pas l'imaginer.
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