Cette faim que j’ai d’aller au bout de moi, jusqu’à en tomber épuisée, rassasiée un moment. Pour un instant je me sens comme ….. anesthésiée ? Je n’ai plus besoin d’autre chose enfin. Les hommes comblent le gouffre en moi. Toi c’est courir sous ton soleil, mais est-ce que ce n’est pas la même chose au fond ? (p140)