Nous y passons tous. Nous buvons et buvons encore puis nous tombons. Étrange jeu de massacre. Nous nous relevons le lendemain, la tête éclatée et les neurones en miettes. Nous rassemblons les morceaux. Le soleil nous torture un peu,remue nos cerveaux mis à nu. Mais nous sommes les fruits d'une race increvable, la mauvaise herbe qui ne meurt jamais et très vite il n'y paraît plus. Le soir même, nous avons remis les compteurs à zéro et sommes prêts à recommencer. Un verre, deux, trois, dix...