Tandis que nous regagnions le bureau en silence, en nous préparant à affronter les courants d’air glacé de la climatisation, je me suis demandé dans quelle mesure la nécessité de trouver de la matière pour Petite Anglaise guidait réellement mes choix. Vivais-je ma propre vie, ou bien était-ce elle le maître chorégraphe qui me poussait là où se trouvait les bonnes histoires ? Aurais-je vécu différemment ma vie, si cette dernière n’était pas le sujet de mon blog ?