Ce n'était pas à cause de l'histoire d'amour, ce n'était pas parce qu'elle voulait voir la Bête redevenir belle, elle le regardait parce qu'elle savait, comme la Bête, ce que c'était de reconnaître la beauté, d'être fasciné par elle et de se sentir tellement plus vivant en sa présence qu'on a envie de l'enfermer et de la garder sous clé pour la contempler et la célébrer tous les jours. (p 233)