Conor et moi nous sommes assis sur un banc dans le parc et quand il n'y a eu plus personne aux alentours, je l'ai posé sur la balançoire. Je savais qu'il n'existait pas mais par compassion pour Claire et lui, je l'ai poussé jusqu'à ce que le soleil disparaisse derrière les arbres en espérant que sa petite âme, où qu'elle soit, y prenne plaisir tout comme la mienne.