Madame Roland n'aura jamais cessé d'écrire, quelles que soient les circonstances, les épreuves ou les souffrances. Pour elle, écrire, c'est vivre; vivre, c'est écrire. Elle en a accepté les contraintes, les fatigues, les déceptions, les sacrifices et même les humiliations, que ce soit dans ses lettres d'amitié, d'amour, ou dans ses correspondances politiques. Jusqu'au bout, elle mobilise sa belle énergie pour écrire, et par là même, exalter ses deux passions: le sentiment et la politique.