Le sculpteur ne s'est évadé de l'emprise mystique familiale qu'après la douloureuse épreuve de la mort de sa sœur Maria, suivie de son essai de vie religieuse. Sa rencontre avec Rose Beuret (1864) est décisive pour sa libération. L'étude des œuvres créées à partir de 1860 permet de comprendre le lent cheminement de sa pensée, sa patiente observation de la nature et du monde qui l'environne, sa recherche d'une technique expressive. Après l'Age d'airain (1877), la voie est tracée.