Quand il conte une légende dans l’amphithéâtre (…) toujours il est question d’un don de soi. Il devient alors le poème récité, la chair brûlante des mots offerts aux étudiants, car ces mots sont la trace sensible de sa rencontre avec l’autre. Et cette communion, les disciples l’attendent. Ouvrant la bouche, avalant la substance du Maître. Ils le dévorent. Ils s’enivrent de lui.