Ce travail fouillé permet de mieux cerner les industries du luxe. On mesure que, en effectif et en chiffre d'affaires, elles peuvent peser moins du quart de ce que représente la téléphonie mobile ou encore la moitié d'un géant de la grande distribution comme Wall-Mart, mais qu'elles ont plus que doublé de taille depuis 1995. En clair, les produits de luxe, déjà associés dans les esprits à la notion de qualité et de durée, ont tout à gagner d'une démarche développement durable.
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