—Tu regrettes d’être parti, Abuelo? (…)
—Chaque soir quand je m’endors, les sons et les odeurs de mon pays me reviennent comme un rêve têtu—prétendre le contraire serait mentir. Mais laisse-moi te dire une chose : c’est beaucoup plus facile de s’endormir avec la douleur de la nostalgie dans le cœur qu’avec la douleur de la faim au ventre.