Ma richesse, je la tirais essentiellement de mes rencontres. J’aimais ce que je faisais, j’étais libre, sans patron. Depuis toute petite, j’essayais d’avancer sans me retourner, sans larmes ni regrets. Pour moi, dans l’idéal, le bonheur se conjuguait au présent. Je courais après, comme bon nombre de personnes, sans comprendre pourquoi.